(7 au 9 mai 2011)
Le concert "Mistico Mediterraneo" à Lörrach nous donne l'occasion d'un court séjour en Allemagne. Nous prenons le train à Paris-Est, direction Karlsruhe où nous attend notre amie Ursula. Notre première étape est Heidelberg.
(31 mars au 5 avril 2013)
Nous arrivons à Francfort à 13h et retrouvons nos amis à Heusenstamm. Après un passage au grand magasin d'articles de sport d'Aschaffenburg pour acheter des chaussures de marche, nous rentrons préparer la fameuse sauce verte de Francfort avec nos amis
(11 au 21 avril 2014)
Notre première étape est Metz. Nous commençons par le centre Pompidou-Metz situé entre le parc de la Seille et la gare.
L’édifice, créé en 2010 par les architectes associés Shigeru Ban, Jean de Gastines et Philip Gumuchdjian, s’inscrit dans un vaste hexagone dont les côtés sont marqués par les trois galeries traversantes auto-portées. Chaque galerie mesure 80 m de long, 7 m de haut et 15 m de largeur. La symbolique de l’hexagone se retrouve également dans la charpente. Il peut évoquer une fleur, ou un chapeau Chinois. Belle architecture extérieure mais intérieur assez vide...
(2 au 7 avril 2015)
Un concert d'A Filetta à Stuttgart (compte-rendu ici), et c'est l'occasion d'une courte visite en Allemagne. Nous arrivons par le train et Ursula nous attend à la gare.
Avant de quitter Stuttgart, nous visitons son musée, la Staatsgalerie avec une exposition temporaire sur Oskar Schlemmer.
Puis nous prenons la route pour Heidelberg.
Notre première étape est Strasbourg. La chaleur suffocante ne nous empêche pas de visiter la ville, en particulier le quartier de "Petite-France", ses ruelles étroites, ses maisons à colombages des XVIe et XVIIe siècles et ses canaux… et la Cathédrale, haute de 142 mètres et véritable joyau de l'architecture religieuse. Nous n'avons pas affronté les 332 marches donnant accès à une vue panoramique sur la ville. Mais nous avons pu observer le ballet des automates de la célèbre horloge astronomique.
Bruxelles, une capitale européenne aux aspects de ville provinciale, ou bien l'inverse : en tout cas un mélange bien agréable. Bien qu'étendue, la ville n'a rien d'un monstre urbain : le centre historique dans sa majeure partie est piéton, la ville se visite donc à pied, à moins d'emprunter métro, bus et tramways pour découvrir d'autres quartiers sympathiques comme le Sablon, le Palais Royal, les Marolles ou Ixelles. Tout au nord, le célèbre Atomium offre une vue imprenable sur la ville.
On cherche rapidement à atteindre la Grand Place et son hôtel de ville gothique, ensemble architectural classé par l'Unesco : ici se concentre l'animation du centre historique de Bruxelles, sans oublier l'incontournable Manneken Pis qui ne manquera pas d’apparaître plus petit que ce que l'on imaginait !
(8 au 15 mai 2019)
Nous arrivons à Roissy-Charles-de-Gaulle sous une pluie diluvienne. Ça promet !
Nous arrivons à Glasgow à 14h30 (heure locale, 1 h plus tôt qu’à Paris). Notre hôtel est situé en plein centre de Glasgow, près de George Square. Après avoir posé nos bagages nous partons à la découverte du quartier sous une pluie fine.
Dîner à l’hôtel : fish and chips copieux et dessert très sucré.
(10 au 19 février 2020)
Lanzarote, "l'île aux 300 volcans", est la plus volcanique des îles Canaries. Cette île de 860 km2 est l’île la plus orientale des Canaries. Les côtes marocaines sont seulement à 140 km.
La beauté naturelle et la fragilité d'un tel milieu face au tourisme et aux aménagements humains ont été bien comprises par César Manrique, architecte et environnementaliste célèbre, natif de l'île. Il a tout fait pour obtenir le classement des zones les plus sauvages, aménageant par ailleurs ce qui devait l'être pour le tourisme avec goût et respect du milieu naturel (Jardin de Cactus, par ex.). Un an après sa mort en 1993, l'île recevait le statut de "Réserve de Biosphère" par l'UNESCO. C'est cet ensemble, certes assez touristique par endroits (côte est), mais étonnamment préservé en d'autres (sud, côtes ouest et nord-ouest, parc de Timanfaya et ses abords) que nous avons découvert en février 2020. Les paysages y sont spectaculaires, assez analogues à ceux de l’Islande par endroits, mais bénéficiant d’un climat bien plus agréable, et partiellement recouverts d’une flore endémique très intéressante (euphorbiacées, cactées).
L'île, la plus ancienne avec sa voisine Fuerteventura (20 à 15 millions d’années), est constituée de matériaux volcaniques anciens de 10 à 20 millions d’années, mais elle abrite d’autres éléments beaucoup plus récents comme les immenses champs de lave du parc de Timanfaya.
Il y a eu trois périodes d’éruptions : celle de la Corona, il y a 20 000 ans ; les éruptions historiques de Timanfaya (1730-1736) ; enfin, l’éruption de 1824 qui a duré 86 jours, couvrant environ 4,9 km2 et créant trois cônes volcaniques (volcan de Tao – Nuevo del Fuego et Tinguaton).
L’île compte environ 147 000 habitants et Arrecife en est la ville la plus importante.
(Mars 2019)
La « petite mer » (Mor Bihan en breton) et ses côtes découpées est considérée comme la région la plus ensoleillée de Bretagne. Ce ne fut pas le cas lors de notre séjour de 2019, mais malgré le vent et la pluie fréquents, nous avons pu apprécier ses beaux paysages. La région d'Auray se caractérise par ses rias, embouchures de fleuves envahies par la marée haute. À noter qu'en Finistère nord et Côtes d'Armor, on nomme ces petites baies "aber" et en Finistère Sud "aven".
Le Finistère Sud correspond grosso modo à la vieille région de la Cornouaille. Sa capitale, Quimper, au confluent de la Steir et de l'Odet, a beaucoup de charme avec ses ruelles médiévales. Autres villes remarquables (et très touristiques) : Concarneau et Locronan. Et, bien sûr, le Cap Sizun avec la célèbre Pointe du Raz.
(9 au 19 août 2017)
Sur les conseils de notre amie Ursula, nous nous sommes décidés à entreprendre ce voyage en Islande. Pour une première découverte, nous avons choisi la formule du voyage organisé. Départ le 9 août !
(15 au 22 avril 2015)
Lever très matinal pour un décollage à 7h20. Avantage : installés à l’hôtel dès 11 h, nous avons maintenant beaucoup de temps libre pour visiter Lisbonne.
Capitale la plus à l’ouest de l’Europe, Lisbonne (Lisboa en portugais) , la plus grande ville du Portugal, est peuplée d’un peu plus de 800 000 lisboètes. C’est une ville très contrastée ; de la très récente tour Vasco de Gama à la célèbre tour de Belém, Lisbonne transcende les âges avec une harmonie particulière. Surnommée la ville aux 7 collines, Lisbonne bénéficie d’une topographie atypique qui permet d’avoir de nombreux points de vue sur l’ensemble de la ville. De cette magnifique cité, connue pour ses sols pavés qui embellissent chacune de ses ruelles, se dégage une ambiance très agréable.
Arrivée vers 12 h à l'aéroport Václav Havel de Prague après un vol sans histoire. Première tâche après avoir récupéré les bagages, se doter de couronnes tchèques. On trouve des distributeurs automatiques de billets dans le hall de l'aéroport. Puis nous trouvons l'arrêt des minibus du Cedaz, mode de transport le plus pratique pour rejoindre le centre de Prague pour un prix modique (150 CZK par personne). 45 minutes plus tard, le minibus nous dépose rue Celnici, tout près de la Place de la République (Náměstí Republiky). L'hôtel Marcello n'est pas très loin mais les pavés ne sont pas très pratiques pour faire rouler notre valise. Et la pluie commence à tomber...
L'hôtel est sympathique, un dédale de couloirs et escaliers à monter et à descendre pour atteindre notre chambre au 3e. Chambre mansardée avec lucarnes dans le toit. Trois pièces en enfilade : un dressing, un couloir desservant salle de bains et wc et la chambre proprement dite.
Possibilité de prendre des repas à l'hôtel, ce que nous avons fait dès notre arrivée.
Amis allemands qui aimez voyager, connaissez-vous cette page ?